HomeNewsCritique « Travail forcé, le SOS d’un prisonnier chinois », sur Arte : la face cachée du « made in China » A partir d’un appel au secours découvert dans un test de grossesse, Laetitia Moreau a mis au jour le système de « prisons-entreprises » chinoises, centres de profit pour des firmes publiques travaillant à l’exportation.
Critique « Travail forcé, le SOS d’un prisonnier chinois », sur Arte : la face cachée du « made in China » A partir d’un appel au secours découvert dans un test de grossesse, Laetitia Moreau a mis au jour le système de « prisons-entreprises » chinoises, centres de profit pour des firmes publiques travaillant à l’exportation.
Critique « Travail forcé, le SOS d’un prisonnier chinois », sur Arte : la face cachée du « made in China » A partir d’un appel au secours découvert dans un test de grossesse, Laetitia Moreau a mis au jour le système de « prisons-entreprises » chinoises, centres de profit pour des firmes publiques travaillant à l’exportation.